Archives artistes en résidence
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Septembre 2018 – avril 2019 : Tarek Lakhrissi
Pour la résidence 2018-2019, l’artiste Tarek Lakhrissi a été sélectionné par le jury pour son projet artistique intitulé “Le réel est une sensation”. Il a réalisé un film de science-fiction (tourné dans le Conservatoire Nadia et Lili Boulanger à Noisy-le-Sec), partant du constat que la banlieue était l’espace du futur.
Tarek Lakhrissi était également invité pour l’exposition de janvier à mars 2019.
Productions de cette résidence
- Tarek LakhrissiOut of the Blue – Part I, 2019
- Tarek Lakhrissi2005, 2019
- Tarek LakhrissiA Stage for Chameleons, 2019
- Tarek LakhrissiAfter the Party, 2019
- Tarek LakhrissiBRUJAS, 2019
- Tarek LakhrissiErreur de Crush, 2019
- Tarek LakhrissiHomeland I, 2019
- Tarek LakhrissiHomeland II, 2019
- Tarek LakhrissiHomeland III et IV, 2019
- Tarek LakhrissiKhamsa, 2019
- Tarek LakhrissiLa Chaîne d’Onizuka, 2019
- Tarek LakhrissiLes Derniers Seront Les Premiers, 2019
- Tarek LakhrissiNATURAL BLUES, 2019
- Tarek LakhrissiOrlando, 2019
- Tarek LakhrissiSignal, 2019
- Tarek LakhrissiSocial Pyramid, 2019
- Tarek LakhrissiTerre Rouge, 2019
- Tarek LakhrissiTreshold I, 2019
- Tarek LakhrissiTreshold II, 2019
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Septembre 2017 – avril 2018 : Félicia Atkinson
Félicia Atkinson a été sélectionnée parmi deux cent quatre-vingt-quatre candidatures, en proposant un projet artistique autour des pistes de réflexion de La Galerie pour la saison 2017-2018 placée sous l’intitulé “Une maison de pierre, une maison de poussière, une maison de” orientée vers la notion d’hospitalité.
http://feliciaatkinson.com
http://www.shelter-press.com/Productions de cette résidence
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Septembre 2016 – avril 2017 : Liv Schulman
Pour la résidence 2016-2017, Liv Schulman a été sélectionnée parmi deux cent soixante candidatures, en proposant un projet artistique autour des pistes de réflexion de La Galerie pour la saison 2016-2017 placée sous l’intitulé “Tes mains dans mes chaussures” orientée autour de la notion d’interprétation et de la manière dont chacun et chacune assume un rôle et l’interprète face aux formats préétablis, usages courants, conventions, pratiques institutionnelles etc…»
Son projet s’intitule “Que faire ?” et consiste à créer une mini-série télévisée de 3 épisodes. Cette série se développe autour de séances de thérapie collective pour des scénaristes souffrant du syndrome de la page blanche.Liv Schulman fait de Noisy-le-Sec le terrain de cette fiction et y intègre les habitants, l’activité et les lieux de la ville, autour des notions d’inspiration et de créativité au travail. L’équipe d’acteurs est constituée de dix acteurs bénévoles et amateurs de Noisy-le-Sec. Elle réalise certaines scènes dans des lieux municipaux comme une salle de réunion, la salle de répétitions du Conservatoire de musique et de danse ou encore le local de stockage utilisé par différents services municipaux.
Liv Schulman crée des fictions hybrides, entre la performance, l’écriture théâtrale et la construction du récit. Pour cela, elle s’engage dans des collaborations avec des acteurs amateurs. Elle travaille autour de personnages qui performent des longs discours interchangeables, comme des ventriloques offrant des monologues disloqués, dont le vocabulaire est emprunté à l’art, à l’économie libérale, la théorie critique et la psychothérapie. Fusionnant les uns avec les autres, cette forme de discours devient les outils fous d’une interprétation paranoïaque du monde social.
Liv Schulman est née en 1985 à Paris, elle vit à Paris et Buenos Aires (Argentine).
Elle est diplômée de l’École nationale supérieure d’arts de Paris-Cergy (D.N.S.E.P) et du Post-Diplôme de l’Ecole nationale des beaux-arts de Lyon.Productions de cette résidence
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Septembre 2015 – avril 2016 : Jagna Ciuchta
Pour la résidence 2015-2016, Jagna Ciuchta a été sélectionnée parmi 260 candidatures, en proposant un projet artistique autour des pistes de réflexion de La Galerie pour la saison 2015-2016 placée sous l’intitulé “ Encore ” ou “ l’expression de perspectives partielles, de voix singulières, de points de vue incorporés et de leurs relations aux formats préétablis, usages courants, conventions, pratiques institutionnelles, etc. ”
Jagna Ciuchta joue avec les critères qui fondent les jugements et la perception de l’art, avec ce qui détermine les habitudes et les réflexes de la profession. En s’infiltrant dans les rouages des institutions artistiques, elle aménage, au sein de pratiques très codées, des marges de manœuvres inédites.
Pour sa résidence à La Galerie, elle agit sur le fonctionnement du centre d’art et sur sa relation aux artistes, en empruntant le pouvoir que détient l’institution d’inviter tel ou tel artiste et non tel ou tel autre. Elaboré autour d’invitations à d’autres artistes, qu’ils soient professionnels ou incertains, artisans d’art, avancés dans leur carrière ou débutants, créatifs, amateurs ou même anonymes, le projet de Jagna Ciuchta lors de cette résidence met à l’épreuve les capacités d’accueil du centre d’art et ses propres intentions de décloisonner les pratiques et de croiser les publics.
Jagna Ciuchta est née en 1977 en Pologne.
Elle est diplômée de l’Académie des Beaux-arts de Poznan, Pologne.
Elle réalise actuellement une recherche doctorale au sien de SACRe, à l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux Arts, Paris.
Productions de cette résidence
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Septembre 2014 – avril 2015 : Julien Creuzet
Pour la résidence 2014/2015, Julien Creuzet a proposé un projet artistique autour de l’axe de recherche “ou-la-persistance-des-images”: cette saison s’intéressait aux usages contemporains de l’image à l’heure de leur circulation accélérée et de leur dissociation rapide de toute source émettrice. Elle articulait une réflexion sur les statuts des images, leur persistance ou porosité aux différents supports et formats, leur instabilité, avec la place de l’auteur / réalisateur / émetteur.
Julien Creuzet a créé un opéra-archipel, en dissociant les éléments qui composent un opéra ─ les voix, décors, costumes, danses, musiques, scènes, livrets… ─, en une forme artistique éclatée à travers un programme de gestes, performances, conférences, films, sculptures…
Intitulé “Les Indes galantes, Toutes nos colonies, un opéra-archipel”, Julien Creuzet a construit ce programme artistique à partir de sa relecture de l’opéra de Rameau “Les Indes Galantes” (créé en 1735) et d’une revue de la France coloniale des années 1930 “Toutes nos colonies”, ayant contribué à forger un imaginaire fantasmatique de paysages lointains (ou encore ce qu’il appelle des “Images de l’Inconnu Incarné”). Il a articulé ces deux références historiques à des formes contemporaines d’exotisme et a construit des filiations entre ces traces imprimées “d’ailleurs et d’autrefois” avec ce qu’il observait “ici et maintenant” en France, en Seine-Saint-Denis, à Noisy-le-Sec, dans son environnement immédiat : la ville, ses architectures, sa flore, ses habitants, leurs habitudes vestimentaires, culinaires, leurs déplacements…</br>
Julien Creuzet est né en 1986 au Blanc-Mesnil. Il est diplômé du Post-diplôme de l’École nationale supérieure des beaux-arts de Lyon (2011-2012) et de l’école supérieure d’arts & médias de Caen (2010-2011). Il est représenté par la galerie Dohyang Lee, Paris.
www.galeriedohyanglee.com
www.juliencreuzet.comLes œuvres de Julien Creuzet produites pendant sa résidence ont été présentées dans l’exposition collective intitulée “Scroll infini” à La Galerie du 23 janvier au 28 mars 2015.
Productions de cette résidence
- Julien Creuzet avec Léna Araguas Opéra-archipel, gisant, cet homme en qamis qui marche sur des bulles d’air (…), 2015
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Julien Creuzet avec Léna Araguas
On a dansé pour oublier, rectangle noir. Les mots lui ont sauté aux yeux au milieu de la ronde, endiablée, X MALEYA, LE MAGIC SYSTEM, 2014 -
Julien Creuzet avec Léna Araguas
Opéra-archipel, gisant, cette femme en boubou bleu, couverte par une doudoune noire-hiver (…), 2015 -
Julien Creuzet avec Pierre Le Cann et Julien Marine
Opéra-archipel, des plantes grimpantes, un fromager plus loin, toute une densité que je ne peux citer (…), 2015 -
Julien Creuzet avec Pierre Le Cann
Opéra-archipel, la serre à palabres (…), 2015 -
Julien Creuzet avec Pierre Le Cann
Opéra-archipel, Scroll infini, septembre-décembre, 2014 -
Julien Creuzet avec Pierre Liévin
Opéra-archipel, nos mouchoirs agités, nos grands foulards, nos petites histoires, cascade (…), 2015 -
Julien Creuzet
Opéra-archipel (…), 2015 -
Julien Creuzet
Opéra-archipel, la bouteille au papillon (…), 2015 -
Julien Creuzet
Opéra-archipel, sépulture (…), 2015 -
Julien Creuzet
Opéra-archipel, sépulture, les toucans, les perroquets sont les oiseaux les plus coloriés (…), 2015 -
Julien Creuzet
Sculptures votives, 2015
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Juillet 2013 – avril 2014 : Nicolas Momein
Pour la résidence 2013/2014, Nicolas Momein a été sélectionné parmi une centaine de candidatures, en proposant un projet artistique autour des pistes de réflexion pour la saison 2013-2014 de La Galerie placée sous l’intitulé « Les formes des affects ».
Pendant sa résidence à La Galerie de juillet 2013 à avril 2014, Nicolas Momein a engagé une réflexion autour des notions d’échange des savoirs et d’apprentissage par imitation, en lien avec des entreprises et des artisans en Seine-Saint-Denis.
Nicolas Momein est né en 1980 à Saint-Etienne. Il vit et travaille entre Saint-Etienne et Genève.
Il est diplômé de la Haute École d’Art et de Design de Genève Wormaster (2010-2012) et de l’École Supérieure d’Art et de Design de Saint-Etienne (2006-2011).
Il est représenté par la galerie White Project, Paris.
www.whiteproject.fr
www.nicolasmomein.comProductions de cette résidence
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Nicolas Momein avec Frédéric Vigy
Sans titre (Sculptures par exemple), 2014 -
Nicolas Momein avec Patricia Bonal
Société Nouvelle Montreuil Epoxy, 2014 -
Nicolas Momein avec Stéphanie Leger
Ville fleurie * *, 2014 -
Nicolas Momein
Accumulation de limaille chez Les Fils de J. George, du 3 juillet 1996 au 21 octobre 2013, 2014 -
Nicolas Momein
Sédimentographie chez Les Fils de J. George, 2014
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Nicolas Momein avec Frédéric Vigy
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Juillet 2012 – avril 2013 : Florentine et Alexandre Lamarche-Ovize
Pour la résidence 2012/2013, Florentine et Alexandre Lamarche-Ovize qui ont été sélectionnés parmi une centaine de candidatures, en proposant un projet artistique autour des pistes de réflexion suivantes : « Façonnages du réel – matérialités, constructions, fictions ».
Florentine et Alexandre Lamarche-Ovize sont nés en 1978 et 1980. Ils vivent et travaillent à Paris.
Ils sont diplômés de l’École nationale supérieure des Beaux-arts de Lyon.
Ils sont représentés par la galerie Luis Adelantado, Valence
www.luisadelantado.com/index.php
www.lamarche-ovize.comProductions de cette résidence
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Florentine et Alexandre Lamarche-Ovize avec Catherine Cagnet, Jean-Claude Thioux et Franck Liger (Service des Espaces Verts de la ville de Noisy-le-Sec)
Vase et bouquet de fleurs, 2013 -
Florentine et Alexandre Lamarche-Ovize avec Erwan Bineau, Saadia Courtillat, Yves Houllier, Céline Laneres, Stéphanie Richard, Assia Saci, Jean-François Thiriot (Association Fortuna, création de spectacles d’évocations historiques de Noisy-le-Grand)
Yggdrasil, 2013 -
Florentine et Alexandre Lamarche-Ovize
Pineapple desk, 2013 -
Florentine et Alexandre Lamarche-Ovize
Papiers découpés, 2013 -
Florentine et Alexandre Lamarche-Ovize
Sérigraphies, 2013
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Florentine et Alexandre Lamarche-Ovize avec Catherine Cagnet, Jean-Claude Thioux et Franck Liger (Service des Espaces Verts de la ville de Noisy-le-Sec)